La taverne du Mort qui Marche

Cette taverne crasseuse est composée d'une vaste salle principale au rez-de-chaussée, où tout voyageur disposant d'argent peut s'offrir de quoi se restaurer, voire même un peu de compagnie pour la nuit, et de deux étages qui abritent de nombreuses chambres, d'une propreté généralement douteuse.

Extenué et affamé par son periple, Agnan Berine se dirigea avant toute chose, vers l'auberge. Elle était mal tenu, craseuse et froide, Agnan Berine se dit qu'il ne resterai pas longtemps sous des cieux aussi non hospitalier. Il decida d'interroger l'aubergiste, un espece de vielles loques blanches, derriere son comptoirs : Excusez moi je suis nouveau dans la région, qu'est ce passe t'il en Ilhicarda, que fait Delvorash.

Nombre de messages : 38 Date d'inscription : 05/12/2005

le garde arriva vers le bareman et lui demanda :
-ou pourrais-je rencontrer votre tres cher seigneur ??
il lui glissa quelque piece d'or !

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[color:5875=red:5875]s'il vous plait monsieur le bareman !!
c'est de toute urgence ,[color=darkblue] dit il en lui glissant quelques pieces d'or dans la poche de sa chemise !!

Peronne ne répondit, tout le monde tournait la tête aux étrangers ici... le peuple se demandait même pourquoi les gardes des Ducs les avaient fait entrer ici...

Sortez de cette taverne, et de cette ville ! Vus n'y êtes pas les bienvenus !

Un homme de haute stature et vêtu d'une cape rouge portée sur une tunique noire venait de se lever au fond de la salle. Il Montrait sa main portant un anneau d'ambre et termina :

Je suis le Duc Elvras Itinarion, Seigneur siégeant au Conseil Provisoire d'Ilhicarda. Quittez cette ville émissaire, et n'y remettez plus les pieds, c'est un ordre !

Les gens montraient à présent le Bigare du doigt et certains paysans ivres tiraient leurs dagues...

Agnan Berine se leva et d'un ton assuré et enervé mais restant poli répond
Je viens d'accomplir un periple de plus de 30 jours, pour pouvoir m'entretenir avec un responsable de l'Ilhicarda, je viens de la part de Caldir de Métairie, et j'espere pouvoir avoir l'honneur d'avoir un entretien vu l'importance de la requete que je porte.

Les gens, qui s'étaient tus jusque là concernant le Métairien, commencèrent également à le montrer du doigts, certains souriant de manière carnassière, d'autre se moquant ouvertement de sa façon de se vêtir... Le Duc se dirigea vers Agnan Berine avec un sourire et lui dit :

Et bien mon ami, vous êtes bien long pour pour accomplir un périple qui ne dure pas plus de trois jours à une allure normale... je n'immagine même pas le détour que vous avez du faire pour arriver jusqu'ici... Je connais le Seigneur Caldir pour l'avoir déjà rencontré auparavant en réunion, ce fils de chien s'était attiré rapidement les foudres du Seigneur Noir Delvorash ! Vos traditions concernant la magie appauvrissent considérablement le pouvoir de la source dont vous pourriez être en disposition ! Etant moi même Maître magicien, je ne puis que déplorer ce comportement à l'égard des flux verts... Mon maître vous l'a certainement déjà dit et redit : tant que vous n'aurez pas revu vos positions à ce sujet, pas de négociations de paix possibles. Alors, ceci considéré, pourquoi êtes vous venu ici étranger ? Vous tenez à mourrir tant que vous êtes encore assez jeune ?

Il lui adressa un nouveau sourire, sadique cette fois-ci.

Mr vous etes une merde, et quand je vois une merde, soit je prend une petite ballaiette, et je la pose hors de mon chemin, soit je l'ecrase avec amusement, et si vous me montrez pas plus de respect envers moi mon peuple et notre magie, je choisirai volontier la deuxième solution. Mais je le regreterai, car un autre combat me preocupe aujourd'hui, et devrait vous preocupez aussi. Une armée immense et démoniaque et en train de prendre forme au Léthalian, et sans une alliance entre les continents, le genre humain ne poura le repousser, et le monde sombrera dans le néant, rasé a tout jamais. Je sais que vous accordez que peux t'importance a la vie, mais cette force ecrasera votre pouvoir aussi, et cela vous est chère. Et vos menace de mort ne changeront rien, car la menace de non alliance des continents devant un perile aussi grand, me fait bien plus peur.

Le Duc sourit de plus belle pour dire :

Je n'ai que faire de vos balivernes... le Seigneur Delvorash lui même avait reçu un illuminé s'autoproclamant Mage Suprême ou quelque chose de ce ton et a été convenablement amusé par son discours.

Il continua en haussant le ton de sa voix :

En revanche Messire votre discours ne m'amuse que guère et je vais vous faire regretter vos paroles...

Il claqua des doigts et la foule les encercla sans rien faire d'autre. Ils regardaient les deux mages avec un grand amusement tandis que le Duc criait :

Eh bien Métairien ! Utilise donc les pouvoirs que tu restreint volontairement pour une question de moeurs ! Viens donc te battre !

Il leva les mains au ciel et incanta d'une manière qui faisait froid dans le dos... Une fois le sort "Déclin Mental" lancé, tu subit une atroce douleur au niveau des parties sensibles t'obligeant presque automatiquement à ne te concentrer plus que sur elle (tu perd 10 pv) mais le mage n'a pas l'air totalement heureux (tu n'es pas devenu fou). Il trouva quand même la finesse d'esprit de lancer une provocation :

Alors Métairien ! Ton Continent est-il devenu si pathétique que sa noblesse ne se déplace même plus pour le protocole diplomatique ? Comment se fait-il qu'un rustre comme toi ait été envoyé ici ? Ils voulaient ta mort ? Que leur as tu fait ?

Agnan Berine en avait trop entendu, sa fureur était grande, il se sentait appé vers le coté obscure de la force verte, il se souvint alors d'une vielle formule que son maitre lui avait apprise, il cria Jetekenevassedeyen.
une immense lumière verte sortie de sa bouche, et vint terrasser le duc, qui tomba raide mort, la foule s'écarta, appeurée, et Agnan Berine reprenant ses esprits et levant les yeux au ciel
excusez moi maitre mais il le devait....
puis s'adressant a la foule,
je reviendrai dans votre ville, reflechissai a ma proposition, et trouvé vous un representant qui puisse tenir une discussion.

HJ : Euh... t'aurais pas oublié qu'il y avait des règles à ce jeu ? Non parce que j'aimerais connaître le nom du sort de ouf que tu as lancé... lol. C'est pas grâve mais la prochaine fois évite ce genre d'énormités STP. Le Duc est toujours vivant et tu n'as pas lancé ce sort, tu es toujours entre les hommes d'Ilhicarda qui t'encerclent et c'est de nouveau à toi de poster pour dire ce que tu fait... merci d'avance. HJ/

Agnan berine, sourit malgré la douleur, et s'assit pas terre les jambes sur le sol, puis dit, je ne cederai pas devant la tentation d'utiliser la violence contre vous. Je suis pour la non violence, et la mort me fais moins peur que le peril que court le monde. C'est pourquoi je resterai assi attendant que vous vous raisoniez ou que vous que vous m'emportez avec vous dans le néant.

Le Duc éclata de rire aux dires de Berine, il claqua des doigts et quatres paysans vinrent l'encercler de plus près et se mirent à l'amener dehors. Une fois sortit avec quelques difficultés cependant, ils confièrent se fardeau à quatres gardes armés qui se dirigèrent avec eux vers les geôles, suivit par le Duc...

HJ : Tu peux tenter de t'évader si tu veux... ton équipement est moins lourd que celui des gardes et les paysans ne sont pas entrainnés à la course. Si tu réussi, tu pourras t'échapper sans problèmes. HJ/

Agnan Berine ne s'emporta pas, mais dit au Duc:
Si je serais a votre place je ne rierai pas, et je me laisserai partir, car si dans 7 jours je ne renvoie pas de nouvelle, les gens de métairie, le prendront comme une declaration de guerre, peut etre que notre petit continent ne vous fait pas peur, meme si je pense que nous avons le potentiel, pour vous infliger une deconvenue, sachez que nous sommes alliées aujourd'hui, avec la Simionie qui s'engagerait immédiatement dans la guerre, et que nous entretenons des liens très important avec la Bigarie, avec lasquelle nous avons scellé plusieur traité commerciaux, qui peut nous servir de monaie d'échange contre une aide de leur part, et sachant que ne la Pitriochka ne vous porte pas non plus dans leur coeur, je ne doute qu'elle se joine au mouvement. Votre continent traversant une crise de pouvoir depuis la dispartion de Delvorash, je crains que vous ne puissiez tenir longtemps un tel conflit. C'est pourquoi je vous invite à réfléchir grandement.

"Ah ah ah !"

Un rire, provenant, cela s'entendait, d'un casque d'armure, se fit entendre derrière le Métairien. Une imposante silhouette s'était déssinée à sa vue et fit trembler le Duc. L'individu arborait une armure sombre et et tenait en sa main une immense épée tout aussi noire. Il se tenait là, debout devant eux et les gardes manquèrent de s'enfuire en courant.

"Ce ne sont pas des façons de recevoir un hôte Duc... je croyais avoir donné de claires consgnes à ce propos non ? Vous deviez m'envoyer tous les diplomates étrangers afin que je les reçoivent moi même... Je connais votre volonté de prendre ma place mais je suis Archiduc désormais et vous devrez compter avec mes ordres est-ce bien entendu ?!"

L'Archiduc, laissant émaner une aaura de sauvagerie et de puissance magique, écarta violemment les gardes retenant le Métairiens et s'adressa à lui avec diplomatie :

"Eh bien Messire... ne menacez donc pas ce chien... il n'y entend rien au mot diplomatie et serait capable de vous faire tuer sur le champ... Remarquez... moi de même mais passons donc sur ce point voulez vous. En outre, j'ai entendu certaines de vos menaces et je tiens à vous dire que nous tenons la Bigarie en allié, si l'on puis appeler un esclave allié, sûr. Il craignent que vos puissances alliées n'en veulent à leurs terres de par la nature sauvage et ravageuse de la magie qu'ils emploient... futile n'est-ce pas ? Mais passons également sur ce point et parlez moi plutôt de ce pourquoi vous étiez venu avant que l'imbécile qui me sert de bras droit ne vienne tenter d'attenter à votre ntégrité physique... Toute nouvelle négociation m'intéresse et je compte redorer l'image qu'a donnée le Seigneur Delvorash à notre Continent. Celui-ci ne prend plus la peine de s'occuper de la nation dont il a la charge et c'est pour cela que l'on m'a nommé Archiduc... histoire de ne pas usurper son titre. Il me semble que vous vouliez parler..."

Il lui tendit la main pour l'aider à se relever, ce qui surpris et la garde et le Duc, et conclu :

"Allez y, je vous écoute."

N'attendant finalement pas la réponse il dit au Métairien :

"Trouvez donc un lieu où dormir cette nuit, nous reparlerons de ceci demain, lorsque vos idées ne seront plus embrumées par la fatigue due au voyage et que je serai, pour ma part, libre de vous écouter... Pour le moment, j'ai fort à faire."

Il salua l'homme de la main et partit seul, en direction de la caserne de la Milice Noire.

Agnan Berine regarda la foule se dispersait, et se dit que cette homme redorait l'honneur de ce continent, et pris la direction de l'auberge, ou il esperait passé une bonne nuit.