Lieu du meutre 6

Maison bourgeoise, au deuxieme étage dans une chambre.

Sereiguena est deja venue voir le proprietaire de cette maison, mais le pere est mort d'un arret du coeur il y a quelque jour, la fille ainée dirige maintenent la maison. C'est la fille qui a était tuer ici. Sereiguena avait deja inviter toute la famille a son chateau, et donc connaissait assez bien la fille, mort maintenent. Son pere était un historien tres célebre dans tout le pays, il avait apris a sa fille tout les ficeles de son metier. Cette famille était tres utile, car était pleinne de connaisance. Il ne reste plus que la mere et un enfant de six ans, qui étaientt d'ailleur la au moment du meutre.
La chambre est sec, le corp nue de la fille est sur le lit, elle a l'air de s'etre fait violet avant de mourir. La tete est au dessus, acrocher au mur. Les ecritures sont au dessus de la tete. La fenetre est entre ouverte.

Sereiguena entra dans le batiment, s'adressant à le mère.

" Je suis désoler pour le malheur qui touche pour la second fois votre maison. Je compatis à votre souffrance. Nous trouverons le ou les coupables, mais pour cela j'ai besoin que vous me donniez le plus de renseignement possible même insignifiant !"

La mère te regarde puis s'incline.

Oh votre magester, qu'est ce que vous faite ici, le coin est dangereux en se moment !

Elle marque une pause, et realise qu'elle aurait pas du te dire ça.

Mais puisque vous etes ici...

Elle se tait et t'invite a s'assoir dans le salon.

J'ai envoyer mon petit henri cher sa grand mere (le petit garcon de 6 ans), vos gardes l'on interogé.

Elle te montre un garde blanc deriere.

Il lui a dit ne rien avoir entendu.

Une larme coule sur la joue de la femme.

Le meutre de ma fille c'est passer au milieu de la nuit. Ma chambre etant a coter j'ai tout entendu...

Des larmes commencent a couler de ses yeux, elle a l'air de s'en vouloir. Elle met sa main devant sa bouche.

J'aurais du intervenir, elle serais pas morte...

D'autres larmes coulent sur ses habits noir.

Quelqu'un...est entré par sa fenetre, je n'arriver pas a m'endormir. J'ai entendu un declique puis plus rien pendant quelque instant, et...j'ai entendu ma fille crier...mais j'avais telement peur...

Marguerite (la mere), met ses mains sur ses yeux, tu l'entends pleurer, tu vois les larmes tomber sur ses vetement...
Mais la femme continue.

J'ai entendu ma fille crier...Elle se faisait violer...par..un salaupard...

Se n'est plus des larme de tristesse qui coule de ses yeux, mais des larmes de colere, de rage.

Elle s'est fait violer...et moi...je restais sous mes draps...sans bouger, de peur qu'ils m'entendent, car il était...plusieurs...

Margerite sort un mouchoir de sa poche et se mouche un coup.

Je les entendais rire...

Puis elle se remit a pleurer.

Et, ma fille a arreter de crier, d'un seul coup...

Sereiguena s'approcha d'elle et la prit dans c'est bras.

Et d'un ton apaisant.

" Nous retrouverons les criminels qui lui ont fait ça, je m'en occupe personnellement. Quand à la situation sachez que votre non action permettra à votre fils d'avoir sa mère pour s'occuper de lui. Prenez bien soit de lui! "

Sereiguena se relève.

" Je vais voir cela si vous le désirez vous serez raccompagnié jusqu'à la destination de votre choix."

Sereiguena monte sur le lieu du drame.

Interpele un soldat.

" Qu'avez vous trouvez, je vous écoute."

Marguerite te remercie.

Arriver en haut. Un soldat devant la porte de la chambre te repond:

La fenetre a était cassé, nous avons pu identifier trois traces de chaussures differente dans la marre de sang et d'eau. Un mage blanc puissant a avoir avec cette affaire, c'est sur...

Les voisin les plus proches on entendu des cheveaux dans la nuit...mais personne ne s'est mis a sa fenetre pour voir se qui se passer.
Dommage...

Il te fait rentrer dans la chambre et te montre ce qu'il y a ecrie au dessus de la tete araché. On peut voir qu'il y a deux mots dans se qu'il y a d'ecrie. Le premier est un peu pres lisible. Le garde te dit:

Nous avons trouvé que le premier mot, c'est : CIRFAREISSE, le deuxieme, est illisible, la premiere lettre resemble a un N, mais pas sur !!! Mais personne n'a su se que sa voulait dire !

Avec de la consentration tu arrive a voir le premier mot, mais la premiere lettre du deuxieme mot semble, pour toi etre un H.

" Est que ce mot vous dit quelques choses ? Et pourquoi pensez vous qu'un mage à avoir dans cette histoire ?

Le garde:

Non de tout les gardes qui sont venus, aucun n'a su se que sa voulait dire !

Il ya des trace de glace un peu partout...et je ne vois pas comment l'eau aurait pu arriver par un autre moyen que par la magie...A mon avis c'est de la glace fondu...

" Très bien continuer l'investigation quand aux mots je penses que nos sages sauront en venir à bout. Finisaient votre travailler ici et je veux votre rapport dès ce soir. "

( Hj- le mot ne me dis vraiment rien ? Y a t il un peu d'eau ou la quantité est vraiment énorme pour que ta théorie soit erroné si c'est le cas et bien je n'aurai pas formuler la chose.)

" Très bien continuer vos investigations."

Sereiguena sort et va sous la fenêtre que les individus ont utilisé pour chercher un indice qui donnerai raison sur l'utilisation de la magie trace de structure en glace ou autre chose.

Tu ne vois absolument pas se que sa peu bien vouloir dire...mais tu pense que tes conseillés pouraient t'aidé.
Il y a des plaques de glace dans la chambre, et un peu moin d'un centimetre d'eau sur le sol.
Arriver en bas, sous la fenetre, tu peux remarquer qu'il y a deux traces dans la neige, ta pas de doute, une echelle a était installé.
Grace au emprente de pied, tu peut voir qu'il était trois a etre passer sur cette echelle. Il y a beaucoup de trace de chariot et de cheveux, impossible de savoir comment il sont venue ici, et donc de suivre leur trace.

HJ/ si tu veux changer ton texte au dessus tu peut, il y a trop d'eau et de glace dans la piece, pour que la neige sur les vetements soit responsable.../HJ

Sereiguena ayant fini de rechercher les informations concernant cette batisse se décida l'ame en peine d'aller vers un autre endroit où il espère avoir plus d'indice.